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    Merci à Bruno et Dom, pour ce très joli cadeau d'amitié et le petit mot qui m'a beaucoup touché...

    voilà l'adresse de leur très joli blog, pour tous ceux et celles qui aiment les belles images, les peintres et autres artistes...

     

     

    Bonne journée à tous et toutes...


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    C'est la Saint-Michel aujourd'hui, alors ou que tu sois je te souhaite une bonne fête...

     

    Que cette petite flamme réchauffe ton coeur, et eclaire, tes nuits, comme elle réchauffe le mien, et éclaire mes nuits depuis ta disparition...

     

    tu me manques terriblement, malgré le fait de savoir que, là ou tu es, tu ne peux en revenir, j'espère encore me réveiller, et réaliser que ce n'était qu'un mauvais rêve...

     

    J'aime à croire que tu m'entends et que tu me vois, alors je te souhaite une bonne fête... et les anges t'embrasseront pour moi...

    Papa...

    je t'aime...

     

    Véro...


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    Merci Maman pour ce très joli cadeau...

    gros bisous...

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    http://mmivesoda.eklablog.com/

     

    le blog de ma maman, qui nous fait de très jolis créas, à visiter, vous serrez les bienvenues...

     

    bonne soirée... les z'amis...


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  • Image du Blog stevero.centerblog.net
    Source : stevero.centerblog.net sur centerblog.

     petit composition écrite par moi-même...

     

     

    et voilà une petite histoire de Fée... comme j'aime et que j'avais envi de vous faire découvrir...

     

    bon après-midi à tous... et bonne visite...

     

     

    La fée des bois (conte hongrois)…

     

     

     

     

    Il était une fois, une jeune fille qui vivait seule avec sa mère dans une pauvre ferme. Elles n'avaient que deux chèvres et chaque matin, la fillette les emmenait dans une clairière des bois pour qu’elles y broutent. Pour toute nourriture, la fillette n'avait qu'un morceau de pain et pendant que ses bêtes paissaient, elle devait filer le lin pour ne pas perdre de temps à rêver. La vie était bien difficile mais la petite Maria était une enfant heureuse qui chantait et dansait sur le chemin. Elle chantait toute la journée en travaillant et rapportait le soir à sa mère un fuseau rempli de fil de lin.

     

     

    Un jour, alors qu’elle était à filer et chanter une femme magnifique sortit de la forêt :
    - Aimes-tu danser Maria ? lui demanda-t-elle.
    - Je pourrais danser tout au long du jour !
    - Viens donc avec moi et je t’apprendrai...
    Les oiseaux de la forêt se mirent alors à chanter sur les accords que soufflait le vent dans les branches... Elles dansèrent, dansèrent, dansèrent ; mais quand le soleil se coucha Maria réalisa que son fuseau n’était qu’à moitié rempli...
    - Es-tu malade, lui demanda sa mère ?
    - Je te promets de remplir le fuseau demain...

     

     

    Le lendemain, sur le chemin, elle ne dansait ni ne chantait plus.
    - Aujourd’hui il n’est pas question que j’accompagne cette drôle de femme, s’était-elle promis !
    Elle fila toute la matinée, mais lorsque le soleil darda sur elle ses rayons au zénith, la dame apparu pour l’inviter à nouveau :
    - Je ne peux pas, répondit la fillette, j’ai beaucoup de travail.
    - Ne t’inquiète donc pas pour ça...
    Et elles dansèrent, dansèrent, dansèrent...

     

     

     

    A la tombée du jour Maria s’effondra en larmes voyant que son fuseau n’était pas plus avancé que la veille.
    Alors la femme murmura quelques paroles et en un clignement d’œil tout fut comme si Maria avait travaillé durant la journée toute entière.
    - Tisse mais jamais ne jure, lui dit-elle en tendant le fuseau. N’oublie pas, tisse mais jamais ne jure...
    Le lendemain la petite chantait et dansait à nouveau tout en cheminant avec ses deux chèvres vers la clairière. A midi la femme vint et les oiseaux chantèrent, le vent souffla les accords...

    Et elles dansèrent, dansèrent, dansèrent...

     

     

     

    Le soir, Maria reçut un petit coffret de bois.
    - Ne regarde pas ce qui est à l’intérieur avant d’être rentrée chez toi...
    Mais bien sûr, en cours de route Maria ouvrit la boite et la trouva pleine de glands de chênes. De dépit, elle en jeta une poignée sur le sol et rentra chez elle.
    Sa mère l’attendait sur le pas de la porte :
    - Où as tu trouvé le fuseau d’hier ? J’ai tissé toute la matinée mais j’avais beau tirer sur le fil, la pelote ne désemplissait pas ! J’ai fini par jurer et voilà que tout à coup le fuseau a disparu... Il y a derrière ceci quelque sorcellerie !

     

     

    Maria fut donc bien obligée de tout avouer à sa mère. La danse, la femme merveilleuse...
    - Tu as rencontré la fée des bois, dit sa mère. Elle vient parfois danser avec les jeunes filles. Par contre, si elle rencontre un homme elle l’entraîne au plus profond de la forêt et on ne le revoit jamais...
    Maria lui montra le coffret et lorsqu’elles l’ouvrirent elles constatèrent que les glands restant étaient en or...
    - Heureusement que tu n’as pas tout jeté !

     

     

    Le lendemain, la mère et la fille allèrent à l’endroit où Maria avait jeté les glands. Mais elles ne découvrirent rien d’autre que trois nouveaux splendides chênes qui avaient poussé là pendant la nuit. Ces trois chênes que l’on peut toujours voir non loin de là...
    Maria ne rencontra plus jamais la fée des bois. Sa mère acheta une nouvelle ferme et la jeune fille continua à danser et chanter tout au long des jours.

     

     


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    Petite Poésie du Dimanche, petit texte de ma composition... 

     

     

    Une page se tourne...

     

     

     

    Un crayon, un papier… quelques mots griffonnés… je ne fais que penser à l’amour envolé… seule abandonnée, ma main sur le papier, s’égare pour essayer de réparer, ma vie que je crois gâchée…

    Les mots courent sur cette page blanche, et mes larmes qui ne peuvent sécher, viennent couvrir, mes pensées… alors les phrases couchées sur cette feuille humidifiée, s’estompent… mais pas, ma douleur que je voudrais pourtant quitter…

    Si je pouvais gommer… effacer… réécrire ma vie… mes amours… mon amour… corriger les fautes, accorder nos envies, supprimer les erreurs, et recopier au propre, sur une nouvelle page, des mots… la prose de ma vie… avec des rimes d’amour, conjuguer à deux…

    Mes mains continuent d’écrire, sur ce brouillon de vie, dont même le buvard n’a pu effacer les tâches… et de nouveau les ratures prennent place… tenaces… elles ne disparaissent pas…

    Le bleu de mon crayon bave, comme celui de mes yeux, les phrases s’emmêlent, les unes aux autres, deviennent presque illisibles, la page se couvre de noir… noire de douleur… de colère…

    Ma main se déchaîne, la prose… la rime s’entravent, et mes pensées… mon esprit s’embrouillent… s’embrument…

    Tirer un trait, et recommencer…Mais avec qui le professeur est parti… je ne peux corriger ce qui a déjà été écrit… je ne peux effacer ce qui a déjà été imprimé… l’encre est profonde… trop profonde… indélébile même…

    Que vais-je devenir, j’essaie de me relire… mais les mots sont indistincts, et ma vie incertaine… je crayonne encore… puis je chiffonne… mais je n’ai pas le courage de jeter, au fond d’une poubelle, cette feuille de papier que je n’ai pas su terminer…

    Pourtant d’autres crayons, d’autres pages, s’offrent à moi, mais il me faudrait reprendre confiance en moi… pour peut-être un jour, écrire, à quatre mains, une destinées heureuse, un roman d’amour, des mots joyeux sans tâches, bavures, ni ratures…

    Des mots qui banniront le noir déjà écrit dans ma vie… des mots qui sonneront et éblouiront, les nouvelles pages de ma vie…

    Pour le reste de ma vie….

     

     

     Je vous souhaite un

     

    

    Gros breizhous les z'amis...

    

    

      

     

    


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